Edit princier des Joutes

Vu le titre V de la Constitution,

Ayant pour souhait de dynamiser la Principauté par de nouvelles nominations et par des joutes rhétoriques régulières.

NOUS,

Enguerrand d’Asmodae,

Prince de Basse-Marne, et cetera,

Edictons les présentes dispositions :

Article 1

Le sénateur Edeline Vanderwyck (979043908979929098) est remerciée de sa fonction de sénateur-civil, sur accord conjoint du Consul Général et de moi-même. Le citoyen William Walker (1284648869027778642) devient sénateur-civil.

Article 2

Son Excellence-Altière Mathéo Armand-Richelieu (503488413681319936) est intégré dans l’Ordre National de la Légion d’Honneur au grade de Paladin de l’Ordre.

Son Éclat Adam de Nerosiel (678386505261121556) est intégré dans l’Ordre National de la Légion d’Honneur au grade de Chevalier de l’Ordre.

Son Excellence-Altière Louis-Alexandre d’Evarian (309769347109486614) est intégré dans l’Ordre National de la Légion d’Honneur au grade d’Aspirant de l’Ordre.

Article 3

Sa Majesté Impériale et Royale Léandre Lolowapk (1250652601666768960) est par la présente autorisé à porter ses titres étrangers sur le sol de la Principauté de Basse-Marne. En dehors d’événements officiels, ces titres ne sont pas assortis d’un statut particulier ou d’une place dans l’ordre de préséance.

Article 4

Pour les actions commises au sein de l’ONV, Basto Komitz (761938874946813974) et Jordan Methza (964842567684456448) sont inscrits sur la liste écarlate.

Article 5

Devant la vacance du poste de Héraut Princier et l’absence de prétendants naturels à ce poste, la désignation du Héraut Princier se fera dorénavant lors de joutes rhétoriques. Mensuellement, la Couronne organisera une joute à laquelle tout citoyen ou tout étranger reconnu, ou portant une décoration d’un Grand-Ordre National, ou portant un titre de noblesse bas-marnais, peut participer.

Au cours d’une joute, la Couronne annonce un sujet et chaque participant défend sa vision des choses sur le sujet. Les participants sont invités à faire preuve d’éloquence et d’une verbosité acerbe, en ce qu’il ne peut y avoir qu’un vainqueur.

À l’issue de la joute, prononcée soit par la Couronne, soit par accord commun des participants, soit par forfait de tous les participants sauf un, un vainqueur est désigné naturellement ou, à défaut, par les Hautes Fonctions princières.

Car tel est Notre bon plaisir.

Fait le quatre juillet deux-mille-vingt-cinq,

Palais Princier de Basse-Marne